 Le texte ci-dessous est la deuxième partie de la traduction d’un original russe composé par Monseigneur Clément, Métropolite de Kalouga et Borovsk, qui est également professeur d’histoire à l’Université de Kalouga. Cet article fut publié d’abord dans la «Literatournaia Gazeta» et il fut repris ensuite, le 12 octobre 2017 sur le site Pravoslavie.ru.
Le texte ci-dessous est la deuxième partie de la traduction d’un original russe composé par Monseigneur Clément, Métropolite de Kalouga et Borovsk, qui est également professeur d’histoire à l’Université de Kalouga. Cet article fut publié d’abord dans la «Literatournaia Gazeta» et il fut repris ensuite, le 12 octobre 2017 sur le site Pravoslavie.ru.
L’amour de son pays, exprimé par le service au bien de celui-ci, jusqu’au sacrifice de soi, demeura tout au long de la vie du Tsar-Strastoterpets, son étoile-guide. Comme on le sait, ce fut précisément le motif essentiel auquel firent appel certains de ceux qui l’entouraient pour le convaincre de renoncer au trône. Dans son télégramme à ce sujet, il indiqua que sa disposition à renoncer au trône était un sacrifice «au nom du bien réel et du salut de la Russie». Faisant face à un choix, le développement d’une guerre civile ou le renoncement au trône, il renonça au trône sans hésiter, espérant mettre ainsi un terme à la révolution. Par la suite, V.A. Makarov écrivit ceci au sujet des opposants au pouvoir impérial : «Les portes-paroles de la société, convaincus de tout savoir et de représenter tout le pays… faisaient infatigablement leur propre publicité dans la presse à leurs ordres… refusaient de s’abaisser à collaborer avec le pouvoir précédant, prétendant être le seuls maîtres. Ils le devinrent en 1917, pour leur propre malheur et celui de la Russie». Read more
 Le texte ci-dessous est la traduction en plusieurs parties d’un original russe écrit par l’Archiprêtre Alexandre Chargounov et publié le 4 février 2022 sur le site Pravoslavie.ru. Le Père Alexandre pose un regard sur les éléments caractéristiques de nos temps derniers et rappelle les jalons qui permettent aux Orthodoxes qui le souhaitent de vivre cette époque dans la fidélité authentique à la voie tracée par notre Seigneur Jésus Christ. Le titre de l’article original russe a été conservé.
Le texte ci-dessous est la traduction en plusieurs parties d’un original russe écrit par l’Archiprêtre Alexandre Chargounov et publié le 4 février 2022 sur le site Pravoslavie.ru. Le Père Alexandre pose un regard sur les éléments caractéristiques de nos temps derniers et rappelle les jalons qui permettent aux Orthodoxes qui le souhaitent de vivre cette époque dans la fidélité authentique à la voie tracée par notre Seigneur Jésus Christ. Le titre de l’article original russe a été conservé. S’il fallait formuler brièvement, en une phrase, le danger qui menace aujourd’hui la pureté de l’Orthodoxie, ce serait ‘la perte de la place centrale de la Croix dans la théologie orthodoxe’. C’est par la Croix que s’accomplit notre salut, par la pureté de la foi. La Croix est la source, le concentré de tous les mystères divins, de tous les dogmes, de tout l’amour, de toutes bénédictions. Nous sommes sauvés par la mort du Christ sur la Croix. La Croix nous donne une paix supérieure à toute intelligence, et c’est par la Croix seulement que vient la «joie pour le monde entier». Sans la Croix, les mystères salvateurs de l’Église n’existeraient pas, et sans la Croix, même la prière serait une stricte perte de temps. L’Église sans la Croix serait un attachement rituel sans vérité, sans justice, sans repentir et sans sainteté.
S’il fallait formuler brièvement, en une phrase, le danger qui menace aujourd’hui la pureté de l’Orthodoxie, ce serait ‘la perte de la place centrale de la Croix dans la théologie orthodoxe’. C’est par la Croix que s’accomplit notre salut, par la pureté de la foi. La Croix est la source, le concentré de tous les mystères divins, de tous les dogmes, de tout l’amour, de toutes bénédictions. Nous sommes sauvés par la mort du Christ sur la Croix. La Croix nous donne une paix supérieure à toute intelligence, et c’est par la Croix seulement que vient la «joie pour le monde entier». Sans la Croix, les mystères salvateurs de l’Église n’existeraient pas, et sans la Croix, même la prière serait une stricte perte de temps. L’Église sans la Croix serait un attachement rituel sans vérité, sans justice, sans repentir et sans sainteté.  Le texte ci-dessous est la fin de la traduction en trois parties de l’original russe de l’Archiprêtre Alexandre Chargounov, extrait de son livre mentionné ci-dessous, et publié le 1er août 2018 sur le site Pravoslavie.ru, sous le titre «ПОКЛОНИСЬ ЕМУ, И ОН ПОМОЖЕТ ТЕБЕ!» Свидетельства чудесной помощи царя-страстотерпца Николая II.
Le texte ci-dessous est la fin de la traduction en trois parties de l’original russe de l’Archiprêtre Alexandre Chargounov, extrait de son livre mentionné ci-dessous, et publié le 1er août 2018 sur le site Pravoslavie.ru, sous le titre «ПОКЛОНИСЬ ЕМУ, И ОН ПОМОЖЕТ ТЕБЕ!» Свидетельства чудесной помощи царя-страстотерпца Николая II. «Mon grand-père Théodore Pavlovitch a servi à la cour du tsar, dans quel grade, je ne sais plus, mais pour son service fidèle, il reçut du souverain un certificat attestant que ses fils pouvaient étudier, apparemment aux frais de l’état, dans n’importe quel établissement d’enseignement supérieur et même dans un établissement d’enseignement militaire. Grand-père était militaire et ne vivait pas dans l’aisance. J’ai appris cela dès ma petite enfance, par mon père Alexandre Théodorovitch, aujourd’hui décédé (Il décéda en 1989). Il souffrait beaucoup du fait que ni lui ni son frère n’avaient reçu aucune instruction systématique et il était toujours très troublé quand il fallait remplir des questionnaires, car du fait qu’il occupait un poste en vue, il devait préciser quelque chose dans la colonne «études». Un jour, il tenta d’expliquer qu’il était allé à l’école pendant deux hivers, mais on se moqua de lui et on lui ordonna d’écrire «supérieur incomplet». En fait, lui et son frère reçurent une éducation à la maison, ce qui fut suffisant pour toute leur vie, et pour la mienne. Parce que mon père fut heureux quand j’ai rapporté mon premier diplôme de l’Université d’État de Moscou. Et puis mon frère fut lui-aussi diplômé de l’Université d’État de Moscou et est devenu docteur en sciences, puis mon fils y a fait ses études. Nous avons considéré cela comme notre mérite, notre conquête: de la province à l’Université d’État de Moscou.
«Mon grand-père Théodore Pavlovitch a servi à la cour du tsar, dans quel grade, je ne sais plus, mais pour son service fidèle, il reçut du souverain un certificat attestant que ses fils pouvaient étudier, apparemment aux frais de l’état, dans n’importe quel établissement d’enseignement supérieur et même dans un établissement d’enseignement militaire. Grand-père était militaire et ne vivait pas dans l’aisance. J’ai appris cela dès ma petite enfance, par mon père Alexandre Théodorovitch, aujourd’hui décédé (Il décéda en 1989). Il souffrait beaucoup du fait que ni lui ni son frère n’avaient reçu aucune instruction systématique et il était toujours très troublé quand il fallait remplir des questionnaires, car du fait qu’il occupait un poste en vue, il devait préciser quelque chose dans la colonne «études». Un jour, il tenta d’expliquer qu’il était allé à l’école pendant deux hivers, mais on se moqua de lui et on lui ordonna d’écrire «supérieur incomplet». En fait, lui et son frère reçurent une éducation à la maison, ce qui fut suffisant pour toute leur vie, et pour la mienne. Parce que mon père fut heureux quand j’ai rapporté mon premier diplôme de l’Université d’État de Moscou. Et puis mon frère fut lui-aussi diplômé de l’Université d’État de Moscou et est devenu docteur en sciences, puis mon fils y a fait ses études. Nous avons considéré cela comme notre mérite, notre conquête: de la province à l’Université d’État de Moscou.  Le texte ci-dessous est la deuxième partie de la traduction en trois parties de l’original russe de l’Archiprêtre Alexandre Chargounov, extrait de son livre mentionné ci-dessous, et publié le 1er août 2018 sur le site Pravoslavie.ru, sous le titre «ПОКЛОНИСЬ ЕМУ, И ОН ПОМОЖЕТ ТЕБЕ!» Свидетельства чудесной помощи царя-страстотерпца Николая II.
Le texte ci-dessous est la deuxième partie de la traduction en trois parties de l’original russe de l’Archiprêtre Alexandre Chargounov, extrait de son livre mentionné ci-dessous, et publié le 1er août 2018 sur le site Pravoslavie.ru, sous le titre «ПОКЛОНИСЬ ЕМУ, И ОН ПОМОЖЕТ ТЕБЕ!» Свидетельства чудесной помощи царя-страстотерпца Николая II. Juliana Iakovlevna Telekova, paroissienne de l’église de la Très Sainte Mère de Dieu Joie de Tous les Affligés, rue Bolchaiai Ordynda, une femme âgée, simple femme peu instruite qui consacra toute sa longue vie au service du Seigneur, m’a raconté peu de temps avant sa mort comment elle a commencé à honorer le Tsar-Martyr Nikolaï Alexandrovitch. Elle ne savait pas grand-chose de lui et n’avait jamais réfléchi à sa personnalité ni à son destin. Quand elle et ses proches vécurent des difficultés matérielles désespérées et insurmontables pour toute la famille, elle vit dans un rêve le Tsar en uniforme militaire, qui lui a dit, en lui tendant un rouble d’argent sur lequel il était représenté: «Commande une pannichyde pour moi, et tout s’arrangera pour vous». Ce fut le cas: après la prière pour le souverain, arriva une aide inattendue. Depuis lors, elle l’a toujours commémoré et prié comme le deuxième Saint Nicolas.
Juliana Iakovlevna Telekova, paroissienne de l’église de la Très Sainte Mère de Dieu Joie de Tous les Affligés, rue Bolchaiai Ordynda, une femme âgée, simple femme peu instruite qui consacra toute sa longue vie au service du Seigneur, m’a raconté peu de temps avant sa mort comment elle a commencé à honorer le Tsar-Martyr Nikolaï Alexandrovitch. Elle ne savait pas grand-chose de lui et n’avait jamais réfléchi à sa personnalité ni à son destin. Quand elle et ses proches vécurent des difficultés matérielles désespérées et insurmontables pour toute la famille, elle vit dans un rêve le Tsar en uniforme militaire, qui lui a dit, en lui tendant un rouble d’argent sur lequel il était représenté: «Commande une pannichyde pour moi, et tout s’arrangera pour vous». Ce fut le cas: après la prière pour le souverain, arriva une aide inattendue. Depuis lors, elle l’a toujours commémoré et prié comme le deuxième Saint Nicolas.  Le texte ci-dessous est le début de la traduction en trois parties de l’original russe de l’Archiprêtre Alexandre Chargounov, extrait de son livre mentionné ci-dessous, et publié le 1er août 2018 sur le site Pravoslavie.ru, sous le titre «ПОКЛОНИСЬ ЕМУ, И ОН ПОМОЖЕТ ТЕБЕ!» Свидетельства чудесной помощи царя-страстотерпца Николая II.
Le texte ci-dessous est le début de la traduction en trois parties de l’original russe de l’Archiprêtre Alexandre Chargounov, extrait de son livre mentionné ci-dessous, et publié le 1er août 2018 sur le site Pravoslavie.ru, sous le titre «ПОКЛОНИСЬ ЕМУ, И ОН ПОМОЖЕТ ТЕБЕ!» Свидетельства чудесной помощи царя-страстотерпца Николая II.