Le texte ci-dessous est la deuxième partie de la traduction en trois parties de l’original russe de l’Archiprêtre Alexandre Chargounov, extrait de son livre mentionné ci-dessous, et publié le 1er août 2018 sur le site Pravoslavie.ru, sous le titre «ПОКЛОНИСЬ ЕМУ, И ОН ПОМОЖЕТ ТЕБЕ!» Свидетельства чудесной помощи царя-страстотерпца Николая II.
A l’occasion du centième anniversaire de mort en martyrs des membres de la famille impériale, les éditions du Monastère Sretenski ont publié le livre «Le Tsar. Livre à propos des saints martyrs impériaux» («Царь. Книга о святых царственных страстотерпцах»). L’Archiprêtre Alexandre Chargounov prononce régulièrement sur les ondes de «Radio Radonège» des homélies concernant les saint confesseurs de la foi, membres de la famille impériale, répond aux questions des lecteurs du magazine «La Maison Russe» à leur sujet, et a rédigés plusieurs recueils des «Miracles des Martyrs de la Famille Impériale». Le livre nouvellement publié explique le rôle de la monarchie dans le destin de la Russie, de la voie des confesseurs de la foi, empruntée par le dernier tsar de Russie et les membres de son auguste famille, et présente une série de miracles produits suite à l’intercession de ces martyrs impériaux.
Juliana Iakovlevna Telekova, paroissienne de l’église de la Très Sainte Mère de Dieu Joie de Tous les Affligés, rue Bolchaiai Ordynda, une femme âgée, simple femme peu instruite qui consacra toute sa longue vie au service du Seigneur, m’a raconté peu de temps avant sa mort comment elle a commencé à honorer le Tsar-Martyr Nikolaï Alexandrovitch. Elle ne savait pas grand-chose de lui et n’avait jamais réfléchi à sa personnalité ni à son destin. Quand elle et ses proches vécurent des difficultés matérielles désespérées et insurmontables pour toute la famille, elle vit dans un rêve le Tsar en uniforme militaire, qui lui a dit, en lui tendant un rouble d’argent sur lequel il était représenté: «Commande une pannichyde pour moi, et tout s’arrangera pour vous». Ce fut le cas: après la prière pour le souverain, arriva une aide inattendue. Depuis lors, elle l’a toujours commémoré et prié comme le deuxième Saint Nicolas. Read more
Le texte ci-dessous est le début de la traduction en trois parties de l’original russe de l’Archiprêtre Alexandre Chargounov, extrait de son livre mentionné ci-dessous, et publié le 1er août 2018 sur le site Pravoslavie.ru, sous le titre «ПОКЛОНИСЬ ЕМУ, И ОН ПОМОЖЕТ ТЕБЕ!» Свидетельства чудесной помощи царя-страстотерпца Николая II.
Le texte ci-dessous est la dernière partie de la traduction d’un article original rédigé en mémoire du Père Hiérodiacre Héliodore (Gaïriants)par Madame Olga Rojniova et publié sur le portail Pravoslavie.ru le 10 novembre 2020. Le texte propose cette introduction : Mes amis, notre cher Père Héliodore s’en est allé. Il est parti le 26 octobre, fête de la Très Sainte Mère de Dieu d’Iviron, alors que retentissent devant le trône de Dieu les paroles d’action de grâce à Celle Qu’il aima et vénéra tant au cours de toute sa vie monastique : Réjouis-Toi, bonne Gardienne de la Porte, Qui ouvre la porte du paradis aux fidèles !
«Quand j’ai choisi la voie monastique, je suis entré à la Laure de la Trinité-Saint-Serge. J’y ai accompli mon obédience auprès du Starets Cyrille (Pavlov) pendant quasiment quatre ans, de 1985 à 1989». Je pensais donc que j’allais rester à la Laure, mais un jour, Batiouchka Cyrille me dit:
Au bazar, on dénicha des «pekhi» maison qu’on apporta à Babouchka. Elle les suça lentement, et son état s’améliora. Au printemps, elle cuisinait à plein régime et lavait la vaisselle. Mais elle aimait tellement son village. Elle voulait rentrer à la maison. «Attends encore un peu, baboulia!». On lui pressait des fruits, des oranges, des grenades, on lui donnait des vitamines et des jus de fruits. Mais finalement, elle ne tint plus. «Maintenant, ça suffit, conduis-moi à la gare». Avant de partir, elle le morigéna : il était allé à l’école soviétique et avait oublié l’Église et la prière. Il était devenu, comme tous les autres, un pionier, un komsomol. «Quel komsomol ! Mais tu es un hooligan ! Un bon à rien!» Et elle partit. Après cela elle vécut encore trois ans en parfaite santé.