«... en 38 années de sacerdoce presbytéral et épiscopal, j'ai prononcé environ 1250 homélies, dont 750 furent mises par écrit et constituent douze épais volumes dactylographiés...» (Le Saint Archevêque Confesseur et chirurgien Luc de Crimée) 1
L’homélie ci-dessous, prononcée en 1958, est intégrée dans le recueil intitulé «Saint Luc de Crimée, Oeuvres Choisies» («Избранные творения» page 243. Éditeur :Sibirskaia Blagozvonnitsa; Moscou; 2010.
En ce dimanche, j’ai l’intention de vous rappeler certains récits de l’Évangile contenant des paroles très importantes de notre Seigneur Jésus Christ, et de les comparer entre eux.
Le premier récit est celui qui se déroule dans la maison de Simon le Pharisien, qui avait demandé à notre Seigneur Jésus Christ de venir chez lui. Quand Il s’allongea devant la table pour le repas, une pécheresse entra dans la pièce et tomba en tremblant à Ses pieds, les arrosant du ruissellement de ses larmes et les essuyant avec ses cheveux, elle baisait inlassablement Ses pieds et les arrosa aussi d’un parfum de prix contenu dans un flacon d’albâtre. Read more

Écrits
A ce jour, trois volumes des Paroles de Saint Païssios l’Athonite ont été traduits en français. Alors que les six volumes en grec ont été traduits en russe depuis des années. Le texte ci-dessous est la traduction d’un extrait du volume II L’Éveil Spirituel, dont la traduction russe a été publiée en 2001 aux Éditions Orthograph à Moscou. Le présent texte sera sans doute moins fidèle à la lettre de l’original grec que la traduction française officielle que nous attendons tous, mais malgré cela, les lecteurs francophones auront un avant-goût de ce que nous attendons tous et que la patience nous proposera dans plusieurs années peut-être, lors de la parution de ce volume en français. Il s’agit ici d’un extrait du chapitre 2 de la quatrième partie, pages 275 à 278 de l’édition russe.
La version russe du texte ci-dessous a été publiée le 23 mars 2021 sur le site Pravoslavie.ru. Il s’agissait d’une traduction de la version originale grecque, parue sur le site katanixi.gr, et datant de Pâques 2009. Ce sont les paroles prononcées par l’Archimandrite Agathon de bienheureuse mémoire († 2020), Higoumène du Monastère de Konstamonitou, sur la Sainte Montagne.
